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RHAPSODY
THE EIGHTH MOUNTAIN


Le 20 Octobre 2022 par KANART

Je suis toujours étonné que l’on considère que les premiers albums du groupe ayant remporté tant de succès, parfaitement mérité il est vrai, caractérisaient une vraie créativité du groupe.
La véritable créativité du groupe pour moi reposait moins sur la créativité mélodique que la créativité d’adaptation et d’orchestration de très nombreuses mélodies traditionnelles médiévales et Renaissance.

En fait le constat peut être plus sévère : retirez toutes les parties de musiques folkloriques traditionnelles médiévales ainsi que tous les morceaux qui ont été dérivés directement de ces mélodies là et il ne restera pas grand chose de vraiment original…

Ce que je veux dire c’est que toute cette période tant chérie et adorée par tous et toutes n’est certainement pas la plus originale en termes de compositions musicales même si ces albums ont un panache extraordinaire.

En comparaison les productions les plus récentes et notamment les trois derniers albums tentent de s’affranchir de ce pillage de mélodies pour n’en conserver que les ambiances en proposant de vraies compositions originales plus ou moins inspirées.

Et si tout n’est pas probant il est vrai, le groupe parvient toujours à montrer qu’il maîtrise parfaitement l’environnement qu’il a créé et qu’il a su faire évoluer dans ses colorations, notamment plus sombres, plus Heavy aussi sans pour autant perdre d'identité.

Une évolution d’ambiance que j’aime bien comparer à celles des Harry Potter depuis l’entrée à l’école des sorciers au combat final face à Voldemort.





SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 20 Octobre 2022 par SWISSIDOL


J'ignore pourquoi mais je le sentais bien, cet album ! Et j'avais raison : on a l'impression que les gars du groupe ont 25 ans tant ils ont la pêche et l'inspiration ! Les trois premiers titres dépotent grave et le son est superbe (quelle basse !). Il manquerait juste un tube à la "18 & Life" pour que le disque soit parfait mais, globalement, je le classerais deuxième, derrière "Slave To The Grind" !
L'album qu'on n'osait plus espérer.





GRAVEWORM
COLLATERAL DEFECT


Le 19 Octobre 2022 par SIEGFRIED


Cet album a été une grosse déception pour moi. J'avais pris une claque avec "(n)utopia" en découvrant le groupe (pourtant pas du tout le meilleur de GRAVEWORM), mais ici...
Après tout ce temps qu'est-ce que j'en retiens ? Pas grand-chose, peut-être "Suicide Code", et encore.

En fait, la seule piste que je réécoute régulièrement, c'est la reprise de "I Need A Hero", qui est ridicule au possible mais que j'adore paradoxalement. Et c'est problématique quand tu finis par te dire que les reprises du groupe sont meilleures que ses dernières productions.

Donc, je conseille d'écouter "I Need A Hero", pour le reste c'est limite même plus du Black Metal. À moins d'être fan de ce genre de music plus Black Friday que Black à mes yeux, passez votre chemin.





The DILLINGER ESCAPE PLAN
CALCULATING INFINITY


Le 19 Octobre 2022 par I AM THE GROWL


Pour moi, le seul album valable du groupe. Hardcore jusqu'au bout des ongles, agressif et fin tout à la fois, et surtout singulier. Parce que les FAITH NO MOREries aseptisées de la suite avec le chanteur trop fan de Patton m'ont gonflé très rapidement... Là, ça y va sur la jugulaire, ça tranche, ça s'excuse pas, ça s'essaie pas à des refrains mélodiques au chant. D'ailleurs, réécouter "Miss Machine" après celui-là, c'est clairement voir que le template de celui-là ils l'ont repris tel quel (les tempos des morceaux et même les riffs dévalent pareil), tout en essayant de le rendre accessible, vaguement. Ce n'est pas tant le résultat que la démarche qui me répugnait à l'époque, ça faisait de ce groupe extrême un produit qu'on essayait de vendre aux masses de djeunz comme le nouveau KORN. La suite ne m'a plus intéressé du tout, je me suis senti trahi.

Bon, pour en revenir à "Calculating Infinity", c'était vraiment énorme à l'époque. Rien ne sonnait comme ça en 1999. Les saccades violentes, les spasmes de blasts et les syncopes rectangulaires c'était absolument nouveau, l'année 2000 arrivait, et on avait enfin le son du millénaire à venir. Une belle catastrophe avec le recul. On croirait avoir un reflet auditif de la cacophonie des forums Internet, avec leurs trolls, leurs érudits, leurs hipsters et leurs gentils passionnés. C'était comme le pendant agressif de "Kid A", sorti un an plus tard, nanti de la même patine entre digital et organique, orné des mêmes sonorités électroniques par moments. Ouais, quand j'y pense, nos temps d'innocence nous ont préparés au pire...





METALLICA
MASTER OF PUPPETS


Le 19 Octobre 2022 par MISS OF PUPPETS


"Master" est un monument, une légende. C’est mon constat très personnel, qui j’imagine est partagé par une ou deux personnes dans ce monde peut être !!!

C’est pour cette raison que lorsque j’ai lu le dernier commentaire en date, j’en ai loupé mon brushing, car c’était un dimanche matin, je m’en souviens parfaitement. Désolée si certains d’entre vous n’ont plus la tignasse qu’ils avaient à vingt ans pour en faire, mais moi ce n’est pas le cas et franchement j’ai été dégoutée (pour le brushing je parle).

Bref, parlons musique plutôt.

La codification nimienne étant ce qu’elle est, je ne peux pas mettre 6 étoiles à "Ride The Lightning", alors tant pis, je joue le jeu. Il s’agit pour moi de l’album le plus intouchable de tous les temps, tout genre confondu. Une sorte de graal ou une quête inatteignable.
"Master..." quant à lui est un monument ; une œuvre majeure qui durera dans le temps. Une sortie de cinquième symphonie du Metal.

La violence rencontre la beauté. La rapidité s’allie parfaitement à la musicalité et aux mélodies. Les paroles témoignent de la sombre réalité. La technique devient la manifestation du subtil et des émotions.

Le titre le plus fort est pour moi "Master Of Puppets", comme beaucoup. La construction du morceau est superbe. Pleine de montée en puissance, aidée par une mise en scène laissant place au suspens, puis à une délivrance finale en apothéose. Il regroupe à lui seul tous les superlatifs possibles : il n’existe pas dans la langue française suffisamment de mots pour le décrire. Les paroles sont tellement réalistes que ce titre devrait être étudié en cours par les plus jeunes, en prévention des addictions. La violence qui se dégage montre à quel point il est possible de magnifier tout ce qu’il y a de pire dans l’être humain. Cette violence devient belle, et sert probablement les démons des uns ou des autres.

L’un des plus beaux instrumentaux du Metal est à mon sens "Orion".
Si "The Call Of Ktulu" reste celui qui m’emporte le plus, dans un imaginaire effrayant, "Orion" titille la première place du podium. Il m’emporte, il est mélodieux et est très varié dans sa construction. Encore une fois, la folie guète mais ne vient pas au contraire, elle fait corps avec les instruments et devient une composition majeure.

La construction de "Master Of Puppets" reste dans la continuité de "Ride The Lightning" tout en constituant un aboutissement (comme le précise la chronique principale). La maturité s’exprime pour le bonheur des mélomanes encore plus de trente ans plus tard.
Quelle joie de pouvoir de nos jours m’extasier sur cet album.





RUSH
MOVING PICTURES


Le 19 Octobre 2022 par LUDWIGRETSCH


À chaque fois je ne peux m'empêcher de m'extasier en écoutant ce chef d'œuvre du Rock Progressif que l'on appelle "Moving Pictures" ; au même titre que ses deux prédécesseurs d'ailleurs...
RUSH a réussi l'exploit d'accoucher en 1981 d'un grand disque de musique, de ceux qui s'adressent autant au néophyte qu'au puriste. Une œuvre universelle à la fois accessible, complexe et radiophonique (dans le bon sens du terme !).
Et tout ça évidemment ne serait rien sans des magic... euh musiciens accomplis et surdoués, à commencer par ce batteur phénoménal porté sur un jeu architectural et athlétique où breaks et descentes de toms (Nicko McBrain et Brann Dailor s'en sont d'ailleurs fortement inspirés !) insufflent une puissance et une très forte identité à la musique des Canadiens... C'est la marque RUSH !!!
L'autre particularité de ce disque et de ce groupe vient évidemment de la signature vocale haut perchée de Geddy Lee armé de sa surpuissante Rickenbacker ; d'aucuns là trouveront déroutante voire agaçante, pour moi elle est parfaitement indissociable du groupe et participe grandement à l'aura et à la singularité de ces sept merveilleuses pièces musicales, de même que la créativité débordante du guitariste Alex Lifeson qui n'en finit plus de s'éclater et de régaler tout en se mettant au diapason avec la Cathédrale Neil Peart (R.I.P.)...
"Moving Pictures" est un grand disque indispensable que tout le monde se doit de posséder immédiatement... Même toi là, qui regarde la Star Academy... Je rigole !!!





SUMERLANDS
DREAMKILLER


Le 19 Octobre 2022 par MISS OF PUPPETS


SUMERLANDS, tout comme ETERNAL CHAMPION, font partie de ces groupes qui me font aimer profondément le Heavy.
À l’instar des groupes cultes du genre et ceux de la NWOBHM, les nouveaux modernisent le tout (productions notamment), et nous présentent une musique extrêmement variée croulant sous les influences multiples. En conséquence, cela me donne encore plus envie de me plonger dans le Heavy des origines.

J’avais déjà bien accroché au premier album, plus épique certes, mais le second est tout simplement magnifique également. Je continue à être conquise car la qualité des compositions est là et bien présente.
L’épique justement, on s’en éloigne. À la vue de la pochette, je suis tout de suite embarquée dans un futur proche de l’univers de Mad Max, qui confronté à notre époque, confèrerait presque une touche très réaliste, tout du moins un futur par si dystopique que cela.

Dans cet album, il y a de tout : de la ballade, "Nightride", de l’aérien, "The Savior’s Lie", du rapide comme il faut "Dreamkiller" et j’en passe. Il est vrai que le tempo a été accéléré par rapport au premier et ce n’est pas fait pour me déplaire. C’est un peu plus rentre-dedans et j’avoue je savoure à fond.
Pour ce qui est du chant, le changement de frontman ne me pose aucun problème ; Brendan Radigan comme Phil Swanson sont parfaits dans ce rôle.
Le côté vintage quant à lui, où quand on se réapproprie à merveille ce qui a marqué une époque, magnifie superbement ce disque pourtant bien ancré dans le XXIème siècle. L’utilisation de la réverb' une fois de plus me parle beaucoup, tout comme les claviers d’ailleurs.

Cette formation m’a une fois de plus totalement convaincue, ainsi j’attendrais le nouvel opus avec impatience la prochaine fois.





MOTÖRHEAD
ANOTHER PERFECT DAY


Le 19 Octobre 2022 par BLUEMASK


Un des derniers vrais bon album de MOTÖRHEAD, restera après "Rock'N'Roll" et "1916", avant la prise de gras et l'embonpoint...
En remplaçant Fast Eddie, Robertson éclabousse le disque de ses enluminures lead et semble avoir eu carte blanche. Ceci dit, je ne trouve pas que cela change fondamentalement la formule : on retrouve bien l'essence du MOTÖRHEAD que l'on aime, débridé, furibard, plus Rock'N'Roll que Heavy, pas bien mélodique (malgré la réputation du disque, "Rock'N'Roll" est bien plus mélodique, et Lemmy reste bien loin de Roy Orbison...), plutôt dynamique, s'il faut trouver un truc en 'ique'... La production est parfaite : chaque instrument se distingue bien, c'est compact, précis, tranchant et jamais la basse n'a aussi bien sonné.





UDO
FACELESS WORLD


Le 18 Octobre 2022 par SWISSIDOL


Même commentaire que pour "Mean Machine" : "Faceless World" fait pâle figure comparé à "Animal House". Ici, le groupe diffuse une touche plus commerciale dans son Metal pour un résultat tout juste moyen.
2,5/5.





UDO
MEAN MACHINE


Le 18 Octobre 2022 par SWISSIDOL


Quelle déception après le formidable "Animal House" ! Il faut dire que celui-ci avait été écrit par ACCEPT ; or, seul, Udo n'est pas vraiment à la hauteur. D'où ce Metal un peu pataud et sans originalité.





SKID ROW
THE GANG'S ALL HERE


Le 18 Octobre 2022 par FREDIAN


La renaissance ("Resurrected" qu'ils disent eux-mêmes) de SKID ROW !

On se croirait revenir trente ans en arrière. Au-delà du plaisir retrouvé, c'est aussi un (petit) problème car on est en terrain (très) connu (je ne lui ai pas encore donné beaucoup d'écoutes mais c'est la première impression qui me saute aux oreilles). Mais quelle énergie ! Cette fougue, ces ondes positives, ce fun nous replongent dans le Hard Rock/Metal du début des 90s. Ça envoie ! Et au final ça marche !

Mais SKID ROW a perdu plus de dix ans tout de même... J'avais découvert à l'époque au hasard d'une vidéo YT la prestation d'Erik Grönwall à l'audition du Swedish Idol 2009 (qu'il finira par remporter). Le morceau c'était, je vous le donne en mille "18 And Life" et franchement il m'avait mis sur le c*l. Une voix proche de celle de Sebastian Bach (jeune) et une énergie débordante dont le groupe avait grandement besoin. La boucle est bouclée maintenant. Souhaitons que ce ne soit pas qu'un one off.

Note réelle: 3,5/5.





HÄLLAS
CONUNDRUM


Le 18 Octobre 2022 par BAPTISTE89


Très bon album d’HÄLLAS, assez différent du premier, du moins dans sa première partie. Celle-ci s’écarte en effet du Rock Progressif pour proposer un Rock plus direct qui rappelle un peu les années 1980 (l’écho de la batterie sur l’excellent "Beyond Night And Day"). "Star Rider" était le tube du premier album, celui de ce deuxième disque est "Carry On" ; une chanson très accrocheuse et dansante. Les trois derniers titres, eux, renouent avec le Rock Progressif et rapprochent cet album de l’excellent "Excerpts From A Future Past". Mention spéciale à "Labyrinth Of Distant Echoes", une perle. Encore une fois, la musique de HÄLLAS nous fait voyager, c’est une réussite de bout en bout.

4,5/5





SKID ROW
SLAVE TO THE GRIND


Le 18 Octobre 2022 par DJINN


Les ballades de SKID ROW sur ses deux premiers albums sont assez géniales.

J'aimais aussi le reste mais avec le recul, ce n'est pas forcément le Hard Rock comme je l'aime. On est sur du Sleaze très bien fait, mais daté et générique. Si on aime, c'est du tout bon, mais je comprends que ça ne passe pas. N'importe quel titre de "Apetite For Destruction" de GUNS N'ROSES enterre tous les titres pêchus de "Slave To The Grind". SKID ROW est très connu aux States, mais n'est pas devenu une légende, et il y a bien une raison à cela.

Ce "Slave To The Grind" souffre aussi d'un parti-pris discutable : la production très agressive, à l'opposé du Sleaze Pop de HANOI ROCKS. C'était salué à l'époque de sa sortie, mais cela lui retire l'effet bonbon de la nostalgie.

Néanmoins, on a affaire à un disque incontournable dans le genre, donc je ne contourne pas.





BLUT AUS NORD
DISHARMONIUM - UNDREAMABLE ABYSSES


Le 17 Octobre 2022 par FRED

"Le panthéon cosmique lovecraftien" n'a pas été créé par Lovecraft mais par son exécuteur testamentaire et continuateur littéraire (souvent pour le pire ?) August Derleth.
Lovecraft n'a jamais tenu à catégoriser un olympe de la terreur et est toujours resté très flou à ce sujet... Justement dans le cadre d'un monde précédant "la synthèse de ces connaissances (humaines) dissociées (qui) nous ouvrira(it) des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons".
En créant quasiment de toutes pièces ce panthéon, à l'image des forces du Bien et du Mal des religions chrétiennes, Derleth a privé les lecteurs du délicieux mystère qui entourait les écrits de Lovecraft, et sa contribution paraît ainsi souvent bien fade et scolaire. Mais cela a néanmoins contribué à la réussite financière des créateurs de jeux de rôle et autres jeux vidéo. La question demeurant, bien sûr : "tout le monde connait Lovecraft, mais qui l'a vraiment lu ?". Pas grand monde, à mon avis !





VIOLATOR
CHEMICAL ASSAULT


Le 17 Octobre 2022 par FRED


Il y a du KREATOR/DESTRUCTION première mouture dans les riffs, aussi ("Ordered To Thrash").
Un bon délire, avec un pote (Moche - Mosh- est le petit surnom ironique que nous donnons à notre chère ville natale brestoise).





WINTERFYLLETH
THE HALLOWING OF HEIRDOM


Le 17 Octobre 2022 par DEATH BY MACRON


Juste le plus grand album de Folk aux effluves guerrières et subtiles. Chef d'œuvre.





BLUT AUS NORD
DISHARMONIUM - UNDREAMABLE ABYSSES


Le 17 Octobre 2022 par JOE THE BAN


Jamais un album n'a porté aussi bien son nom ! "Disharmonium" est un album bordélique où rien n'est facile d'accès, BAN réitère les recettes testées et approuvées des cuvées précédentes, la surprise en moins... Cette alternance de lumière et d'obscurité fait la recette de BAN depuis le début de sa carrière.

Sauf que moi je reste sur ma faim, je suis encore dans les nuages avec "Hallucinogen" qui est tout simplement le meilleur album pour moi depuis "Memoria Vestusta 2".








RAGE AGAINST THE MACHINE
RENEGADES


Le 17 Octobre 2022 par BLUEMASK


Ce n'est pas donné au premier groupe de bal venu de faire un album de reprises qui vaille la peine d'être écouté plus d'une fois en faisant la vaisselle... À ce jeu, RATM plie le jeu haut la main et montre l'étendue de son talent sur ce qui devient un album à part entière du groupe.
C'est proprement sidérant : avec une setlist au goût sûr, partagée entre morceaux à l'origine Hip-Hop, Punk/Hardcore ou Rock 'classique', le groupe réussit le tour de force de faire un disque homogène, où il n'interprète pas les morceaux à sa sauce, mais les refait du sol au plafond... Il n'y a peut être que "Kick Out The Jams" qui soit un peu trop proche du titre d'origine.
On pouvait s'attendre à ce que RATM reprenne efficacement CYPRESS HILL, Eric B & RAKIM, MINOR THREAT ou les STOOGES, mais l'incroyable naît avec AFRIKA BAMBAATAA, les STONES, SPRINGSTEEN ou DYLAN, que le groupe retournent complètement pour en faire autre chose, pour en faire du RATM rageur, groovy, bétonné, concerné... Il se fend en plus d'une douceur ouateuse avec la reprise de DEVO, complètement en contre-emploi.

Ce disque est probablement une obligation contractuelle, mais éclabousse de son talent.





Yngwie MALMSTEEN
TRIAL BY FIRE: LIVE IN LENINGRAD


Le 17 Octobre 2022 par SWISSIDOL


Pour les personnes comme moi qui apprécient un petit MALMSTEEN de temps en temps sans vénérer le Suédois, voici un bon "best of". Comme certains l'ont écrit ici, tout ne sonne pas archi-live (l'intro chantée de "Heaven Tonight", par exemple) mais ce n'est pas le seul groupe à avoir retouché un enregistrement.





SACRAL NIGHT
Le Diadème D'Argent


Le 17 Octobre 2022 par EAD666


Très bon album en effet un peu à part dans le paysage Heavy actuel. On ressent effectivement une influence Black Metal dans ce Heavy Metal où la mélodie domine au milieu d'ambiances sombres et inquiétantes. On peut penser un peu au "Nucleus" de DAWNBRINGER par moments et difficile de ne pas penser à MERCYFUL FATE. Le chant en français d'Antoine est pour moi un gros plus et colle tellement bien aux textes. Antoine nous montre toute l'étendue de son talent et de sa voix dans un registre différent de son chant à la voix éraillée et Rock'N'Roll qu'il utilise dans ELECTRIC SHOCK. Un mot également les interventions guitaristiques d'Aymeric Mallet toujours pertinentes et inspirées. Rappelons qu'il avait illuminé l'excellent album "The Midnight Tales" de STONEWITCH (une perle sortie en 2018). Une bien belle surprise en tout cas.







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