Les remasters présents dans les digipacks sont ceux de 2012, rien de neuf. En revanche le deuxième disque propose l'original (mix d'époque), et ce sur tous les albums (à part les Lives s'ils les rééditent je suppose).

Pour les premiers albums, le remix leur donne un coup de jeune bien appréciable, "Battalions Of Fear" et "Tales From The Twilight World" étant ceux qui en bénéficient le plus. Après c'est une question de goût, comme toujours.

Donc je réponds oui à toutes tes questions l'ami !

Salut !

Alors je te dirais que les remasters de 2012 sont quelque peu rééquilibrés (donc remixés), et qu'entre autres un ménage a été fait au niveau des voix, et de quelquesm arrangements de guitare. Pour autant l'écoute est certes plus limpide mais pas nécessairement meilleure. Personnellement, je trouve que des morceaux comme "And Then There Was Silence" ou "Precious Jerusalem" y perdent énormément. L'écriture-même de "A Night At The Opera" est dense, et la multitude d'informations à capter sur le moment est de toute façon un frein pour une frange du public (car tu n'es pas le seul à te poser cette question, loin de là). À titre personnel, même si je reconnais qu'il peut être éprouvant, je reste solidement attaché au mix original de 2002.

Tente donc le remaster de 2012, et n'hésite pas à partager avec nous tes retours.

Cordialement

Possible.

Mais reste à voir que le nom de l'album de QUEEN était un hommage au film du même nom des Marx Brothers, tout comme l'opus suivant, "A Day At The Races".

On ne le saura sans doute jamais à moins de demander aux membres du groupe s'il s'agit d'un clin d'œil ou pas.
Pour ma part, je trouve qu'un tel titre inspire sensualité, charme, beauté suprême et musique impeccable servie par des maîtres de la compo ciselée et brillante à souhait (ce fut le lot de QUEEN) mais pas de BLIND GUARDIAN, encore moins de leur " A Night at the Opéra ".

Je ne vois pas ce que cet album a de complexe et de "prog". Il est très riche et très intense mais n'a rien de progressif. Speed metal convient donc parfaitement, tempo rapide et double grosse caisse, on ne s'y trompe pas.

Salut smaug

Ah ces appellations !!! Pourquoi ne pas clarifier les choses en disant tout simplement que Blind Guardian joue du Folk-Power-Heavy-Speed-Metal-Orchestralo-Progresso-Symphonique ?!

Moi ca me parait logique !

Salut Smaug!

Je ne pense pas que prog soit le terme qui convienne, parce que qui dit prog dit aussi nombreux changements de rythme, démonstration d'adresse,... Bien que ca irait pour "And Then There Was Silence"...
Mais Blind Guardian est un groupe génial, qui prend son temps pour composer, mais qui est génial et qui prend un malin plaisir a toujours repousser les limites du genre! Heavy guardianesque ,par exemple, faisons comme eux, sortons des sentiers battus...!

Hello,

effectivement, cette chanson fait référence sous forme métaphorique au nazisme, mais pourquoi serait-ce dérangeant? Si tu crains que le groupe avoue là quelques accointances avec l'idéologie fasciste, je te rassure tout de suite, il n'en est rien.
Le passage que tu cites est au discours direct, c'est-à-dire qu'Hansi fait parler à la première personne les "méchants" de son histoire.
Mais si tu lis bien le reste de la chanson, tu vois que le vrai narrateur est plutôt désespéré par la montée de la haine, de l'extrêmisme (ex: "Hate will grow like a foul cancer / To find a foe seems to be the answer").
Bref, je ne vais pas me lancer dans une analyse poussée de la chanson, mais pas d'inquiétude, l'emploi des pronoms "I" et "We" est plus une technique narrative pour rendre la chanson vivante qu'une prise de position politique.^^ (Dans NIME, il fait la même chose avec Fëanor, Morgoth, Ungoliantë, etc.)

Récupéré sur The Following, une brève explication du texte par Hansi:
"This song is about the courage and the will to go even in desperate situations. It is a fable about genocide, racism, but also about friendship and loyalty."

Voilà, en espérant avoir répondu à ta question.