"Seventh Son Of A Seventh Son", dernier grand album de MAIDEN. Après, ce ne sera pas aussi mauvais que certains veulent bien le dire, juste inégal. Avant, c'était le sans faute. Au milieu, sur cet album donc, c'est la perfection.
Deux ans plus tôt, apparition du synthé pour faire comme les copains du moment et naissance du synth-metal (comme DEPECHE MODE faisait de la synth-pop).
Et là, on reprend les synthés mais on choisit l'option atmosphères, mystère et progression. D'où un disque complexe, le plus osé de MAIDEN, le plus ambitieux, le plus prétentieux, l'un des plus réussis.
Du hit facile avec refrains hyper accrocheurs ("The Evil That Men Do", "Only the Good Die Young"...) côtoie des morceaux à rallonge (le titre éponyme en tête) qu'on retrouve chez l'animal depuis "Powerslave".
Un indispensable de MAIDEN, comme plusieurs autres, mais surtout la galette la plus originale du quintette (euh, sextette).
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